Du fait du long pont aucun produit vivant ne sera expédié la semaine de l'Ascension afin d'éviter toute mortalité. Les expéditions d'insectes et de nématodes reprendront normalement le lundi 13 mai 2024.

Comme leur nom l’indique, les bactérioses sont des maladies provoquées par des bactéries naturellement présentes au niveau du sol ou bien du feuillage des plantes. Celles-ci sont disséminées par les insectes, les animaux et l’homme mais également par les précipitations ou bien encore par les outils.

Il existe de nombreuses espèces pathogènes pour les plantes chez les bactéries. Parmi celles-ci on retrouve principalement les genre AgrobacteriumPectobacteriumErwinia, Xanthomonas et Pseudomonas.

Elles engendrent un large panel de symptômes et il est bien souvent difficile d’identifier le problème à l’œil nu. Selon le pathogène, cela peut prendre la forme de galles (Agrobacterium spp), de brunissements des parties attaquées, de pourritures molles (Pectobacterium sppErwinia sppPseudomonas spp) ou bien encore de taches humides plus communément appelées des graisses (Pseudomonas sppXanthomonas spp). 

Boites de Pétri ensemencées avec des bactéries pathogènes des plantes

Les bactéries ayant un temps de génération très court (de 20 min à quelques heures), la maladie peut se déclarer très rapidement dès lors que les conditions sont humidesprincipal facteur favorisant leur développement.

Les bactérioses entraînent généralement des problèmes de croissance, la mort des végétaux attaqués et le pourrissement des denrées contaminées

La pourriture molle bactérienne

La pourriture molle bactérienne est principalement provoquée par les bactéries Pectobacterium carovora et Erwinia chrysanthemi.

Pourriture molle sur un chou fleur

Pectobacterium carovora, anciennement connue sous le nom de Erwinia carotovora, provoque chez les plantes une pourriture molle qui s’attaque le plus souvent aux racines, aux tiges et aux fruits. Elle vit dans le sol et se développe à basses températures. Ce pathogène sévit sur de nombreuses espèces potagères notamment chez les   cucurbitacées et les solanacées mais également sur les saladescélerischouxbasilic etc. Cela se traduit bien souvent par le flétrissement et le jaunissement du feuillageliquéfaction des tissus atteints donnant aux parties attaquées un aspect noirâtreliquide et nauséabond. Elle entraîne aussi chez certaines espèces végétales, une désintégration de la moelle des tiges qui se creusent et deviennent poisseuses. Cet agent bactérien est responsable de la nécrose vasculaire de la betterave, de la maladie de la jambe noire sur pomme de terre et de la pourriture bactérienne des tiges sur tomates

Erwinia chrysanthemi s’attaque à de nombreuses espèces potagères telles que les oignonspomme de terre et les carottes mais aussi ornementales avec des fleurs telles que les œillets, les chrysanthèmes, les dahlias, les kalanchoés, les dieffenbachias, les violettes africaines ou les philodendrons. Cette bactérie se développe de 3°C à 46 °C mais les premiers dégâts ne s’observent qu’au-delà des 20- 25°C. Elle entraine une pourriture molle qui décompose petit à petit les organes charnus à l’instar des racines, des bulbes et des tubercules. Le pathogène circule dans les vaisseaux conducteurs de sève brute et la maladie peut rapidement s’étendre à l’ensemble de la plante. Cet aspect systémique ou circulant est problématique dans le cas des plantes à reproduction végétative (comme pour les pommes de terre par exemple). La bactérie survit dans le sol pendant au moins deux ans. 

La bactériose du noyer

La bactériose est l’une des principales maladies des noyers. Elle est due à la bactérie Xanthomonas arboricola pathovar juglandis qui s’attaque à l’ensemble des parties aériennes en croissance. Elle survit à l’hiver dans les bourgeons ou bien sur les tiges. La dissémination du pathogène est principalement effectuée par le vent via le pollen contaminé, les précipitions et les frottements entre les tissus végétaux. Le développement de cette maladie est optimal par temps humide et lorsque les températures sont comprises entre 16 et 29°C. Elle est également favorisée par une implantation des arbres sur des sols peu profonds, pauvres en matières organiques et acides ainsi que par une fertilisation azotée excessive, de surcroit lorsque celle-ci provient d’un engrais minéral. 

Les symptômes de la bactériose du noyer sont caractéristiques.

  • Sur feuilles : de petites taches éparses jaunes apparaissent. Leur présence est très visible en regardant la feuille à contrejour. Celles-ci vont s’étendre et former un halo qui se nécrosera en son centre en noircissant la feuille et en la déformant sur les bords. 
  • Sur fruits :la bactériose entraine un noircissement du brou avec des symptômes graisseux qui peuvent se creuser avec le temps. Une attaque au printemps entraine bien souvent la chute des jeunes noix. En revanche les attaques tardives noircissent le fruit et liquéfient le cerneau à l’intérieur de la noix le rendant totalement impropre à la consommation.
  • Sur rameau : la bactériose entraîne une dessication et un assombrissement de la branche parfois accompagnée d’un recroquevillement en crosse de la tige. 
Dégats caractéristiques de bactériose du noyer sur feuilles

A noter que l’INRA de Bordeaux et à la Station Expérimentale pour la recherche sur les fruits et légumes de Creysse dans le Lot  ont montré que la variété joue un rôle important dans la sensibilité à la Bactériose du noyer :

  • Les variétés Ronde de Montignac, Fernette et Ferouette  y sont peu sensibles
  • Les variétés Parisienne, Marbot, Corne, Ferjean, Lara, Fernor, Serr, et Meylannaise y sont moyennement sensibles
  • Les variétés Franquette, Grandjean, Chandler, Fertignac et Mayette y sont très sensibles
Un chaton de noyer dont le pollen peut être le vecteur de la bactérie Xanthomonas campestris pv juglandis

Afin de préserver vos arbres de la bactériose du noyer, il est conseillé d’appliquer de l’anti-maladies polyvalent en préventif  pour réduire l’intensité des attaques. Veillez également à ramasser les feuilles mortes et les fruits lésés à l’automne afin de réduire au maximum l’inoculum. 

Il convient également lors de l’implantation de choisir des variétés peu sensibles et de s’assurer de la profondeur du sol, de son pH ainsi que sa richesse en matière organique.

Veillez à fertiliser sans excès en préférant des amendements organiques et à donner une forme générale aérée lors de la taille de manière à favoriser le séchage rapide des feuilles et fruits

Les graisses, mouchetures, gales et autres taches bactériennes

Les graisses bactériennes sont généralement provoquées par la bactérie Pseudomonas syringae ou bien par des Xanthomonas spp. On les retrouve sur de nombreuses plantes à l’instar des haricots, des pois, des choux, des cucurbitacées, des artichauts, des tomates …

Généralement les graisses bactériennes se développent lorsque les conditions sont froides et humides mais cela peut varier en fonction de la bactérie incriminée. Ces maladies sont transmissibles par les semences. Les bactéries provoquent de petites taches huileuses et humides qui se développent sur le feuillage et le noircissent.

A noter que les graisses bactériennes prennent des formes différentes et ont d’autres noms (moucheturesgalestaches noires de la tomate) en fonction de la typologie des symptômes rencontrés.

Afin de se prémunir des moucheturesgalesgraisses et autres taches bactériennes, il est recommandé d’utilisé des semences certifiées indemnes de maladies et d’appliquer les règles de la rotation des cultures. Il est également important de combler les besoins nutritifs de la plante en s’appuyant sur une fertilisation à base d’amendements organiques avec des dosages équilibrés. Enfin, l’utilisation de chitosan pour booster les défenses naturelles de la plante sont un plus dans un contexte de bactérioses.

Une feuille de haricot pleine de mouchetures bactériennes

Le chancre bactérien

Cette bactériose affecte principalement les arbres fruitiers, comme les cerisiers, les pruniers, les pêchers, les arbres à kiwis mais également certains arbres d’ornement à l’instar des marronniers. Elle est principalement provoquée par la bactérie Pseudomonas syringae, qui vit naturellement sur le feuillage des plantes.

Gommose produite par un arbre attaqué par le chancre bactérien

Le développement des chancres a principalement lieu à l’automne ou en hiver par temps froids et humide. Les bactéries profitent des précipitations pour coloniser des plaies de tailles ou des blessures. Avec le retour du printemps, ces dernières vont se développer et vont engendrer des boursouflures et des craquelures d’où s’échapperont de la gomme dorée. Lorsque le chancre se développe à la base d’une branche, il peut conduire à la dessication de tout le rameau. Lorsqu’il a lieu au niveau du tronc, l’arbre est condamné à plus ou moins long terme, mais certaines opérations culturales comme le curetage des chancres, leur désinfection suivie d’un badigeonnage au blanc arboricole permet de ralentir la progression de la maladie. De même il est préférable de tailler par temps sec et de protéger les plaies de tailles avec un mastic à cicatriser. Enfin, il faut repérer et éliminer précocement les chancres sur les rameaux les plus hauts avant que ceux ne se répandent avec le ruissèlement de l’eau lors de la mauvaise saison.

Le chancre bactérien se développe bien souvent sur des arbres stressésmal implantés, ou en fin de vie. A noter que des bactéries de la famille des Xanthomonas peuvent également donner des chancres bactériens sur les arbres fruitiers. 

Le feu bactérien

Le feu bactérien est la maladie la plus redoutée dans les vergers de fruits à pépins. Comme son nom l’indique, elle est due à une bactérie, Erwinia amylovora. Celle-ci est très virulente notamment sur les pommiers et poiriers, mais elle s’attaque aussi à d’autres rosacées comme les cognassiers, les ronces, les alisiers, les cotoneasters, les sorbiers ou les buissons ardents (pyracantha).

Cette maladie se transmet par l’action des insectes pollinisateurs, ou piqueurs suceurs comme les pucerons ou les cicadelles ; par les oiseaux, par l’homme via la dissémination des bactéries avec les mains ou les outils, par le ruissellement lors des épisodes pluvieux, ou bien encore par le vent

La bactérie survit en hiver dans des chancres. Au printemps, elle va se développer au niveau des fleurs et des plaies de taille ou de grêle. Généralement les tissus attaqués suintent un exsudat très chargé en bactéries qui vont inexorablement surinfecter l’arbre.

Un rapide dessèchement des bouquets floraux et des rameaux est observé. Cette nécrose progressive revêt une teinte noire chez le poirier et marron chez le pommier. Les jeunes pousses se recourbent vers le bas.

Des chancres aux bords peu marqués peuvent aussi se former sur les branches et les charpentières. L’aubier sous-jacent prendra alors une coloration rouge à brune.

Tous ces dégâts conduisent à la momification des fleurs et fruits sur l’arbre

Le feu bactérien peut complètement détruire des vergers de poiriers, pommiers ou cognassiers

Parfois on peut observer des chancres au niveau du collet, ou sur le porte-greffe. Cela se traduit par une absence des symptômes cités précédemment mais par un rougissement du feuillage en fin d’été suivi par un dépérissement rapide de l’arbre. A noter que les porte greffes de la série M9 sont très sensibles à cette maladie.

Il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement curatif contre le feu bactérien et les arbres attaqués devront être déracinés et incinérés sur place afin d’éviter la dissémination de cette maladie. C’est également un organisme de quarantaine en Europesoumis à déclaration et à lutte obligatoire en France. Afin de vous prémunir de cette maladie, veillez à implanter des variétés avec des portes greffes moins sensibles au feu bactérien. C'est pour cette raison que certaines variétés sont désormais interdites à la plantation, c'est notamment le cas de la poire Passe-Crassane qui y est très sensible.

De même veillez à détruire tout réservoir potentiel de feu bactérien à proximité de vos vergers (Pyracantha, ronciers, alisiers …)

L’application préventive d’anti maladie polyvalent permet de prévenir l’apparition du feu bactérien sur les cultures sensibles.

Xylella fastidiosa, une nouvelle bactérie tueuse de plantes

Arrivée en 2013 en Europe, cette bactérie est mortelle pour plus de 300 espèces de plantes. Parmi celles-ci on retrouve la vigne, les agrumes, de nombreux arbres fruitiers (Prunus spp), les chênes, les oliviers… Elle est principalement rencontrée dans les pays du Sud du continent à savoir le Portugal, l’Espagne, la France et l’Italie où elle fait des ravages dans les oliveraies de la région des Pouilles. La bactérie Xylella fastidiosa se développe dans le xylème, c’est-à-dire les vaisseaux conducteurs de sève brute qui alimentent le feuillage en eau et en sels minéraux.  Elle se transmet aussi bien par la multiplication de plants contaminés, que par l’action des insectes piqueurs suceurs se nourrissant de sève brute (certaines espèces de cochenilles ou de cicadelles) et des outils provocants des plaies (outil pour la taille, ou le travail du sol) … 

Les symptômes sont multiples :

  • Présence de brulures sur le feuillage s’accompagnant avec le temps d’un dessèchement plus ou moins rapide des rameaux conduisant à la mort du végétal attaqué. Ces symptômes sont souvent observés sur les lauriers roses, les amandiers et les oliviers.
  • Un jaunissement du feuillage chez les agrumes
  • Un raccourcissement des entre nœuds et un aspect tombant chez les pêchers
  • Une chlorose et un rougissement des feuilles, des problèmes de lignification et le maintien des pétioles après la chute du feuillage sur la vigne
  • Certaines plantes attaquées peuvent être totalement asymptomatiques 
Une oliveraie

Il n’y a actuellement aucun moyen de lutte curatif contre Xylella fastidiosa et les plantes attaquées doivent être arrachées et brulées sur place afin d’éviter toute propagation. C’est un organisme de quarantaine soumis à déclaration.

Comment protéger les plantes des bactérioses ?

Il n’y a généralement que peu de moyens curatifs pour lutter contre les bactérioses, de ce fait il convient de mettre en place une prophylaxie adaptée afin de limiter le développement de ces maladies.

Avant toute chose, il est vivement conseillé de respecter le principe de la rotation culturales tout comme comme d'éviter d’installer des plantes sensibles sur des zones fortement attaquées par une bactériose.

Il faudra également limiter les causes d’infection en luttant contre les organismes vecteurs comme les insectes piqueurs suceurs par exemple, ou bien en nettoyant et en désinfectant régulièrement les outils

L'humidité favorise le développement des bactérioses

De même, vous pouvez, par certaines opérations culturales, influencer le climat au sein des végétaux. Ainsi, lors des opérations de taille, veillez à aérer le plus possible les plante pour favoriser leur séchage après les précipitationsEvitez également de mouiller les plantes lors des arrosages, l’humidité étant le facteur principal favorisant le développement des bactéries.

Vous pouvez également implanter des intercultures ou des engrais verts contenant des crucifères comme la moutarde blanche. Ces plantes ont en effet des propriétés bio-fumigatrices et ont tendance à éliminer les champignons et bactéries pathogènes en se décomposant dans le sol.

Pour Xylella fastidiosa et le feu bactérien des rosacés, il n’existe pas de solution curative, l’arrachage et l’incinération de la plante attaquée sont donc la seule solution. L’export et la destruction des parties malades est également une chose à respecter pour les autres maladies bactériennes.

Enfin, si vous avez un jardin potager ou un verger soumis régulièrement à des bactérioses, raisonnez le choix de vos variétés par rapport à leur sensibilité aux maladies. De même, préférez utiliser des semences certifiées qui seront indemnes de maladies.

Afin de limiter au maximum le développement des autres bactérioses, il convient de stimuler les défenses naturelles de la plante. Pour cela, vous pouvez appliquer du chitosan. Vous pouvez également traiter de manière préventive  avec de l’anti maladie polyvalent afin de lutter contre la bactériose sur les noyers, les tomates, et sur les plantes aromatiques.

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